Entre la vie et la mort ... Il y a un choix !

Kaoru ferma les yeux et se détendit au possible.

(Stoïque mon oeil, elle est morte d'inquietude )

(To c est parce qu eje viens de lire un passage avec raphael , alors je suis atteinte de stoisisme aigue)
Saskia regarda Laurelaï , puis les filles

Laurelaï sortit ce qui semblait être un baume a lèvre. Elle passa son pouce dessus et deposa la substance sur les lèvres de Kaoru.
"-C'est du concentré...Tu seras dans un etat de demi conscience. Tu pourra les guider en revant."

"Bon y va ?"

Elle regardait toutes les personnes présente dans la pièce

"-Je n'attends plus que vous!"

Sève soupira.

"Moi c'est quand vous voulez... Mais je crois qu'il faudra prendre Satan avec... Donc ça risque d'être plus lourd... Je préviens déjà..."

"-HEY! je suis pas une remorqueuse . 4 personne, dont moi , pas plus !"

(dsl)

"Et que faut il faire ?"

Sève se redressa et la foudroya du regard.

"C'est pas ma faute Si Nisan a besoin des deux... C'est pas moi qui l'ai mis dans cet état là alors vous en prenez pas à moi, pigé?"

"Notre poupée n'aurait pas été aussi réussi sans toi... "

"Vous n'avez qu'à partir et me laisser là si c'est pour vous chamailler ..."marmona t'il.

"Mais non, on pourra se chamailler dans ta tête ^^ "

Kaoru soupira ...

"La journée va etre longue ..."

Puis il ferma les yeux et s'endormit.

"-VOUS LA FERME OUI! Bien , tout le monde sur un lit , vous aller tomber dans les vapes quand votre conscience quittera votre corps. Pour le reste , vous faites le vide dans votre esprit, et vous me laisse faire. Laurie , tu fais attention a tout ce petit monde . ET PAS SELEMENT A KAO!"

"-Allez, on y vas"
Saskia lança une onde mentale qui projeta tout le monde dans l esprit de Kaoru.

Ainsi ils se retrouvaient dans l'esprit de Kaoru.


"Purée, y a de l'écho ! Je pensais pas que c'était aussi vide... LULU ?"

"Il y a quelqu'un ? Oh il fait tout noir "

"Lu-ne-cu-me ! Qui s'est que tu traites de tete vide ?!"demanda Kaoru, où plutot son esprit.

"... Hahaha ! Pas la peine de râler, que peux-tu me faire, ici ? "