Astaroth's City
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Astaroth's City

Une cité parallèle, où les domaines magiques n'auront plus aucun secret pour vous !
 
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 Shay Soa

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Shay Soa Empty
MessageSujet: Shay Soa   Shay Soa Icon_minitimeMer 11 Juin - 0:27

Nom : Soa

Prénom : Shay

Age : 28 ans… c’est ce qu’il dit en tout cas…

Profession : Patron du Dragon Flamboyant, pub et boîte de nuit

Portrait physique : Au premier abord, Shay a l’air d’être seulement un nouvel adolescent rebelle. Lorsqu’il avoue l’âge qu’il a… on a du mal à le croire. Il donne l’impression d’être un étudiant alors qu’il s’agit d’un homme déjà bien aguerri. Mais il tait la raison de sa source de jouvence : un tel secret, ça se garde !

Les cheveux châtains, peignés quand il en a le temps, le jeune homme adopte un look semi-négligé, légèrement mauvais garçon. Ses yeux sont d’un vert olive, très vif, qui donne presque l’impression d’un regard de serpent. A tout moment, il donne l’impression d’épier, de scruter et de disséquer l’âme d’autrui. Il a l’air plutôt fermé, pas très avenant à la première rencontre. Pourtant, son visage peut se fendre d’un mince sourire de temps à autre. Sa peau possède un léger voile doré. Côté stature, on devine bien que ce n’est pas un champion d’haltérophilie, mais il reste tout de même bien bâti : il a tout ce qu’il faut, là où il faut et en quantité qu’il faut. Il se vêtit très souvent de t-shirts noirs et pantalons customisés. Chaînettes, déchirures, A de Anarchie… rien n’est de trop pour affirmer son style. Et il porte son style, et il le porte bien.

Mais ne vous méprenez pas sur sa façon d’être : toute son attitude, ses mouvements, sa façon de se mouvoir, de parler… semblent être le couvercle qui retient quelque chose de s’échapper. Il est difficile de cerner une personne telle que Shay : sans être placide, il a cette façon d’être décontractée qui couve quelque chose de plus violent. Il peut se montrer tantôt aimable, voire jovial, tantôt taciturne, froid, distant, ou même inquiétant. Il est comme le nuage de fumée qu’on essaye d’attraper : quand on pense l’avoir, il disparaît. C’est quelqu’un d’imprévisible et d’extrêmement insaisissable. Le fait qu’il ne semble s’attacher nulle part, à rien du tout, ne fait qu’accentuer cet air de liberté réfractaire. Il est un peu comme un navire qui serait toujours en mer, sans aucun maître à bord que lui-même…

Portrait psychologique et caractère : On pourrait penser que, au vue de l’attitude et des tenues vestimentaires de Shay, il soit de ces anarchistes qui prônent une politique de violence suprême. Le jeune homme n’est pas sans quelques idées révolutionnaires, mais il semble pourtant faire preuve de beaucoup de sang froid. Il a l’air d’être d’un tempérament plutôt calme, même s’il paraît froid ou distant. Il est certain qu’il ne remportera pas le Grand Prix de la Sociabilité. Il est quelqu’un d’assez solitaire, même s’il lui arrive de lier quelques relations avec des personnes de passage. Il n’aime pas savoir qu’on entrave sa liberté, ce qui peut nous faire dire qu’il ne s’engagera jamais complètement. Il ne supporte même pas de s’ancrer géographiquement puisqu’il change souvent de place, de travail. Il reste généralement quelques années avant de se lasser et partir à nouveau. Pas d’attache sociale, sentimentale, géographique… Il est constamment en mouvement, semblant suivre son instinct…

Instinctif, Shay l’est beaucoup. Il est très impulsif malgré son air calme. Il est d’ailleurs aussi traître qu’un cours d’eau calme : une pierre jetée dans la mare suffit à faire des remous et à le mettre en colère. Il peut se montrer aussi agressif et vindicatif. Il a déjà été impliqué dans des histoires un peu glauques, mais il finit toujours par s’en sortir à bon compte. Sans doute le mensonge et l’hypocrisie font aussi partis de son tableau. Il n’hésiterait pas à trahir sa propre mère plutôt que de plonger lui-même. La perfidie est probablement une de ses maîtresses, au même titre qu’une méchanceté sourde, presque inconsciente. Ni Dieu ni Maître : à l’exception de lui-même bien sûr.

Et pourtant, il est déjà arrivé que le jeune homme se laisser aller à la douceur de la pitié – pas la compassion qui implique une aliénation de soi en partageant sa souffrance. La pitié, ce sentiment qui nous touche parfois et nous pousse à modérer nos paroles et nos gestes pour ne pas heurter plus, bien qu’il n’y ait aucun partage du sentiment de souffrance ou de solitude. Shay a déjà éprouvé ce genre de sentiments, ainsi que de la tendresse. Mais ses sentiments semblent être éphémères chez lui, tout comme chaque chose dans sa vie. Il préfère conserver la beauté d’un moment unique que de le prolonger éternellement et s’en lasser…

Histoire : Si l’on écoute Shay parler de sa vie – ce qu’il ne fait pas souvent, voire jamais - il vous dira que sa vie a commencé à l’aube de ses vingt ans. Avant cela, il a passé sa prime jeunesse dans un orphelinat où il n’a su se distinguer que par sa nature de trouble faîte. Mais à cette époque, il considère qu’il n’avait aucune identité, il n’était juste qu’un pauvre gosse abandonné, comme d’autres avant lui. Il n’était qu’un dans une multitude, son individualité était totalement niée au milieu de cette foule de gamins sans parents, sans passé et sans avenir…

Mais si certains gamins se laissent aller à penser qu’ils mourront aussi abandonnés que le jour de leur naissance, ce n’est pas le cas de Shay. Il commence à jouer les terreurs au sein de l’orphelinat, s’attirant la crainte des autres enfants mais un certain respect des adultes qui étaient effrayé par tant de chaos chez un enfant de cet âge. Mais se faire une place ainsi ne convient pas au jeune homme : il ne veut pas que les autres lui soient subordonnés, il veut les entraîner avec lui dans sa colère. Face à tant de placidité de la part de ses camarades, il désespère de jamais les voir se battre pour aucune cause, pas même la leur. Sa seule consolation réside dans le regard d’une femme, une jeune bénévole au teint de chocolat et aux yeux d’or. Elle passe régulièrement à l’orphelinat pour y apporter un peu d’aide. Shay, approchant alors sa majorité, connaît son premier coup de cœur pour une femme. Cette dernière semble comprendre et écouter cette rage sourde en lui. Elle sourit lorsqu’il lui fait part de ses envies de mettre l’orphelinat à feu et à sang pour toucher l’espoir de voir ses comparses d’infortune se battre un peu pour leur vie. Il parle, elle l’écoute, il l’admire, elle l’observe, ils s’embrassent… Il y a comme un accord tacite dans leurs deux regards en flamme. Tous deux sont des esprits libres et fougueux. Shay a presque l’impression de se refléter dans cette jeune femme… Morrigan…

Lorsque Shay quitta l’orphelinat, leurs chemins se séparèrent. Ils se reverront de temps en temps, discuteront ardemment, feront l’amour puis se sépareront à l’aurore. Il ne faut pas laisser l’amour s’enraciner dans un cœur fougueux, ou bien cette graine de compassion pourrait abattre toutes les plus grandes convictions. Après sa sortie de l’orphelinat, Shay vola de boulot en boulot. Il finit par atterrir dans un boui-boui peu recommandable dont il devint le bras droit : strip-teaseuses, alcools illicites et marchés glauques entre clients… Cela devint son lot quotidien. Mais il s’amusait à observer le spectacle de la déchéance humaine. Il n’était pas un soir sans qu’une bagarre éclate et que le bar soit mis sans dessus dessous. Il n’était pas un soir sans qu’un homme tombe raide mort sur le seuil de sa maison, après une soirée plus qu’arrosée dans ce repaire insalubre. Shay aimait cet espèce de foutoir anachronique, cette anarchie des sens… C’est à cette époque que son attention fut attirée par l’une des strip-teaseuses du club : une jeune fille d’à peine 16 ans, Ashley Maleia. Il fut pris de pitié pour cette pauvre bougre qui devait aller jusqu’à la prostitution pour aider sa famille à subsister. Mais généralement, le peu d’argent qu’elle se faisait était liquidé en achat de drogues et d’alcool. Il remarqua l’air fantomatique que la jeune fille se traînait soir après soir. Elle n’avait guère plus que la peau sur les os. Ce qui le toucha le plus, c’est qu’elle ne donne plus l’impression de se battre pour aller mieux. Lorsqu’un soir, il dut l’amener aux Urgences suite à un malaise, ses soupçons se confirmèrent : Ashley était une junky, droguée à répétition. Malgré qu’il se lie assez peu aux gens, il finit par prendre la jeune fille sous son aile : il la tenait à l’écart de sa famille pour essayer de la sevrer. Mais c’était peine perdue : elle trouvait toujours le moyen de revenir à ses addictions. Néanmoins, leur histoire dura quelques mois. Et pendant ces quelques mois, Shay vivait avec l’espoir fou qu’Ashley se décide à se battre. Cette anarchie dans son jeune esprit n’était pas le genre d’anarchie auquel il adhérait : c’était une anarchie de faiblesse, une soumission à un seul maître : la dépendance. Peu de temps après, il se décida à essayer de la laisser voler d’elle-même. Sans doute aussi par lassitude, il jugea mieux pour elle de la tenir éloignée : il a donc rempli un dossier d’inscription pour elle à l’université d’Astaroth pour l’obliger à partir.

Mais il est étrange de constater que, parfois, même si on met tout en œuvre pour s’écarter d’un chemin un peu trop tortueux, on finit tout de même par se retrouver dessus. Un peu par hasard, au cours de ses errances, Shay a fini par suivre le même chemin qu’Ashley jusqu’à la cité d’Astaroth. Et dans son ombre, se profile l’image d’une femme… une femme à la peau brune et au regard flamboyant…

Prédispositions magiques :
  • Télépathie
  • Il est capable de créer des substances mortelles sans avoir recours à la confection de potions et à certaines plantes. Son corps est capable de produire ces subtances par magie, lorsqu'il le décide. Cela peut se manifester sous forme de gaz ou de liquide (attention au baiser mortel du dragon !), ou parfois même par simple contact avec sa peau.
  • En passant la main devant le visage de la personne face à lui, il peut détecter sa plus grande peur.


Particularité : Shay possède un étrange tatouage tribal à la hanche. Peu de personnes savent reconnaître ce symbole ancien, qui date des premières ères. Seuls quelques érudits s’intéressant aux langages anciens pourraient en déterminer la signification exacte.
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